Un contrat (écrit lorsqu’il s’agit d’un coaching en entreprise) est posé en début de coaching, qui précise :

  • L’objectif précis du coaching
  • Le déroulement du coaching dans le temps (fréquence, durée)
  • Le lieu et/ou à distance
  • Le tarif
  • Les règles de fonctionnement :

Règle de bienveillance : le Coach accueille avec bienveillance la parole de la personne accompagnée, sans aucune forme de jugement ni d’évaluation.

Règle de la liberté de parole : la personne accompagnée peut évoquer tous les sujets qui la concernent.

Règle d’implication : la personne accompagnée s’implique dans le processus de coaching.

Règle de ponctualité : si la personne accompagnée arrive en retard, la séance se terminera quand même à l’heure précédemment convenue.

Règle de restitution : aucune restitution du contenu des séances de coaching ne sera réalisée par le coach à l’entreprise.

Règle d’évaluation du coaching : en cas de demande légitime de l’entreprise, l’évaluation des progrès accomplis par le coaché dans l’atteinte de ses objectifs sera effectuée lors d’une réunion à trois – coach, coaché, représentant de l’entreprise – ou par un questionnaire d’évaluation du coaching rempli par le coaché lui-même ou par tout autre moyen choisi par le coaché et par l’entreprise d’un commun accord, dans le respect de la règle de secret professionnel.

Déontologie, secret professionnel : le coach est tenu au secret professionnel.

Règle d’éthique du coaching : le coach ne réalise ni psychothérapie ni accompagnement spirituel. C’est pourquoi le coach s’engage à discerner si la problématique de la personne accompagnée relève éventuellement d’autres disciplines de la relation d’aide et à l’orienter, dans ce cas, vers d’autres professionnels compétents.

Nous sommes supervisés régulièrement par un professionnel afin de mieux évaluer la qualité de nos interventions.